Pu­blished: 26. jan­vier 2021 | Up­dated: 14. dé­cembre 2023 Author: Jenia Chor­naya | Re­viewed by Jenia Chor­naya

Le bryo­phyllum

La plante Bryo­phyllum ap­par­tient à la fa­mille des plantes à feuilles grasses et ap­par­tient au genre Ka­l­an­choe. À l’o­ri­gine, les feuilles de bryo­phyllum étaient ori­gi­n­aires de l’État in­su­laire de Ma­da­gascar et étaient prin­ci­pa­le­ment ré­par­ties dans les zones tro­pi­cales. Bryo­phyllum pin­natum a en­suite été in­tro­duit en Eu­rope par la mé­de­cine an­thro­po­so­phique et est main­tenant uti­lisé en mé­de­cine con­ven­ti­on­nelle.

Les ef­fets du Bryo­phyllum

Le mé­di­ca­ment à base de plantes a un très large éven­tail d’­uti­li­sa­tions et est donc uti­lisé en mé­de­cine tra­di­ti­onnelle dans cer­tains pays de­puis un cer­tain temps. Le bryo­phyllum est prin­ci­pa­le­ment uti­lisé pour la gross­esse, l’­hy­per­ten­sion, l’in­flamm­a­tion, l’a­gi­ta­tion, les trou­bles du som­meil et la vessie ir­ri­table. Les dif­fér­ents acides vé­gé­taux con­tenus dans les ex­traits (fla­vo­n­o­ïdes, tri­ter­pènes, sté­roïdes bu­da­fié­noïdes) ga­ran­tis­sent un effet in­hi­bi­teur de con­trac­tion, an­ti­all­er­gique, anti-dou­leur et cal­mant. En raison des nombreux ef­fets po­si­tifs et cal­mants, de plus en plus de femmes qui veu­lent avoir des en­fants se tour­nent vers le Bryo­phyllum pen­dant ou même avant la gross­esse.

Dans les sec­tions sui­vantes, vous app­rendrez com­ment le prin­cipe actif peut vous aider dans votre désir d’en­fant et/ou pen­dant la gross­esse.

Le bryo­phyllum avant, pen­dant et après la gross­esse

De plus en plus de femmes ayant le même désir se po­sent la ques­tion de sa­voir si le Bryo­phyllum peut les aider à avoir des en­fants. Comme pour de nombreux au­tres mé­di­ca­ments ou re­mèdes à base de plantes, il con­vient de noter que, dans le passé, il était pos­sible d’é­ta­blir des valeurs at­ten­dues pour le succès de l’effet, mais au­cune ga­rantie de succès ne peut être pro­mise. Sou­vent, une prise ré­gu­lière peut aider un ovule fé­condé à s’im­planter dans l’u­térus, car l’effet du bryo­phyllum est si­mi­laire à celui de l’hor­mone de pro­ge­sté­rone. Le bryo­phyllum peut éga­le­ment con­tri­buer à sou­lager l’in­flamm­a­tion, par ex­emple dans l’u­térus, et aider à la gué­rison.

Le bryo­phyllum peut avoir les ef­fets sui­vants :

  • Sou­tien à l’im­plan­ta­tion de l’o­vule fé­condé
  • Ren­force­ment de l’u­térus
  • Aug­men­ta­tion de la tempé­ra­ture du corps : aug­men­ta­tion des chances de gross­esse
  • Pro­lon­ga­tion de la deu­xième moitié du cycle
  • Effet cal­mant
  • Anti-in­flamm­a­toire

Mère et enfant

Pen­dant la gross­esse

Pour les femmes, le bryo­phyllum est non seu­le­ment in­té­res­sant au début de la phase de fer­ti­lité, mais peut éga­le­ment être un sou­tien utile pen­dant la gross­esse. L’une des com­pli­ca­tions pos­si­bles au début de la gross­esse reste le risque d’­ac­couch­e­ment pré­ma­turé et le risque as­socié de nais­sance pré­ma­turée. Pour traiter le tra­vail pré­ma­turé, des ex­traits de la plante Bryo­phyllum sont uti­lisés en mé­de­cine an­thro­po­so­phique de­puis de nombreuses dé­cen­nies.

Une étude cli­nique sur l’ef­fi­ca­cité du bryo­phyllum mon­trera si le bryo­phyllum (50%) peut être uti­lisé comme al­ter­na­tive à la thé­rapie stan­dard avec le mé­di­ca­ment “ni­fé­di­pine” pour le tra­vail pré­ma­turé. Un groupe de femmes a reçu du bryo­phyllum sous forme de com­primés à mâcher et l’autre le mé­di­ca­ment ni­fé­di­pine, sou­vent uti­lisé en mé­de­cine con­ven­ti­on­nelle comme con­traceptif (to­co­ly­tique).

Dans les deux groupes expé­ri­men­taux, le nombre de con­trac­tions dans les quatre heures sui­vant le pre­mier ex­amen a été ré­duit de ma­nière si­mi­laire. Au­cune dif­fé­rence no­table n’a été con­statée entre les deux groupes.Le bryo­phyllum s’est donc ré­vélé être une al­ter­na­tive vé­gé­tale ap­pro­priée au trai­te­ment stan­dard du tra­vail pré­ma­turé. Le risque d’­ac­couch­e­ment pré­ma­turé est par­ti­cu­liè­re­ment élevé chez les femmes ence­intes de plus de 40 ans ou de moins de 18 ans. L’âge est le fac­teur de risque le plus im­portant parmi ceux qui peu­vent con­duire à une nais­sance pré­ma­turée. En outre, grâce aux pro­priétés cal­mantes de l’in­g­ré­dient actif, Bryo­phyllum peut éga­le­ment aider en cas d’anxiété avant la nais­sance, de dou­leur, de trou­bles du som­meil ou d’a­gi­ta­tion in­té­ri­eure.

Après la gross­esse

Le bryo­phyllum peut éga­le­ment être pris après la gross­esse, en cas d’é­chec de l’in­sé­mi­na­tion ar­ti­fi­ci­elle, de fausse couche ou de cy­cles ir­ré­gu­liers ainsi que de stress mental.

Fille

Le bryo­phyllum: Son do­sage et ses ef­fets se­cond­aires

En gé­néral, il est re­com­mandé de ne prendre Bryo­phyllum qu’a­près avoir con­sulté un mé­decin, un pra­ti­cien de mé­de­cine douce ou une sage-femme. En même temps, il est pos­sible de dé­ter­miner le do­sage ad­apté à vos be­soins in­di­vi­duels. Il est im­portant que le do­sage varie en fon­c­tion de la forme d’­ab­sorp­tion. Le prin­cipe actif est dis­po­nible sous forme de poudre, de com­primés, de glo­bules, de gouttes ou d’in­jec­tion. Avec des com­primés ou des glo­bules, par ex­emple, il faut prendre une quan­tité dif­fé­rente de celle de la poudre de Bryo­phyllum. La forme de Bryo­phyllum qu’il est re­com­mandé d’in­gérer dé­pend à nou­veau du dia­gno­stic et de l’­ob­jectif de la de­mande.

Ef­fets se­cond­aires: en gé­néral, le prin­cipe actif est mé­di­cal­e­ment con­sidéré comme très bien to­léré et con­duit donc ra­re­ment à une hy­per­sen­si­bi­lité. On ne peut guère s’at­tendre à des ef­fets se­cond­aires avec le Bryo­phyllum et au­cune in­ter­ac­tion né­ga­tive n’est connue à ce jour.

Sou­tien al­ter­natif

Outre la prise de Bryo­phyllum, il existe d’au­tres al­ter­na­tives pour aug­menter les chances d’a­voir un en­fant. Les fac­teurs psy­cho­lo­gi­ques et le stress jouent ici un rôle im­portant.
Pour ré­duire le stress, les ac­ti­vités de loi­sirs avec votre par­ten­aire ou vos amis et votre fa­mille peu­vent vous aider. En outre, il con­vient de veiller à un som­meil suf­fi­sant et à une ali­men­ta­tion saine et équi­li­brée. En outre, l’­uti­li­sa­tion d’un cal­en­drier des cy­cles peut être utile pour trouver le bon mo­ment des jours fer­tiles. Si le cycle est ir­ré­gu­lier, un ex­amen mé­dical est re­com­mandé pour écarter des mala­dies telles que le SOPK ou l’en­do­mé­triose.

Personne de dos

 

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